lundi 25 janvier 2010

Richesse culturelle de Sayada


En me promenant dans la vieille ville de Sayada, j'ai toujours aimé cette magnifique fresque qui décore une façade. Je sais que les symboles religieux sont très importants dans le représentatif architectural et ornemental, mais jusqu'à maintenant, je ne peux expliquer la juxtaposition du croissant et de l'étoile à six branches... Alors si quelqu'un peut me renseigner ?

dimanche 24 janvier 2010

Sayada

Il vient me de passer sous la main, le dernier numéro double 13/14 (1er semestre et 2e semestre 2009) de la revue "Thétis", une revue semestrielle publiée par l'Association pour la culture et les arts méditerranéens (ACAM).

Ce que j'ai beau aimé dans ce numéro, est l'article du directeur-responsable de la revue en personne, M. Mansour M'HENNI, fils de Sayada. L'article en question s'intitule :
SAYADA MA PASSION
Naissance et renaissance d'une cité méditerranéenne
C'est un texte plein d'amour pour la ville de Sayada et qui retrace dans un écrit enchantant l'histoire de l'agglomération depuis ses origines historiques, jusqu'au XVIe siècle de notre ère.
Le long de quatre épisodes récités sur sept pages de la revue, l'auteur a survolé les étapes clefs de l'histoire de la ville, ces étapes sont les suivantes :
  • Une agglomération à la périphérie de l'Histoire
  • Des origines libyques
  • La destruction de Leptis
  • Renaissance et peuplement de Sayada
La veuve originaire de Moknine, Hannibal, le corsaire Barberousse-Aroudj et d'autres sont les protagonistes de ce récit. Ainsi, le mythe côtoyait le réel dans une atmosphère de conflits, de pirates, d'épopées etc. Et M. M'HENNI nous a offert des voyages sublimes dans le temps avec un seul mot d'ordre "Sayada".

À la fin de récit, je reprends le texte de l'auteur qui avance :
"C'est sur ce fond de conflit meurtrier et d'absence de sécurité que mon ancêtre le Djerbien s'en vint à terre de son îlot des Lotophages. Il élit domicile sur la colline de la Pêcheuse, mais ça c'est bien une autre histoire, l'histoire de mon ancêtre le Djerbien, qu'un jour peut-être je conterai."
Eh bien monsieur, nous attendons avec impatience cette histoire.