mardi 26 avril 2011

Un philosophe visionnaire

Sayada entière le connait, même les communes avoisinantes : un homme d'un certain âge qui sillonne la ville sur ses béquilles, portant fièrement sa chéchya et si vous avez de la chance il vous dira une de ses célébrissimes citations ! C'est « Brahim » connu aussi sous le nom de « Teg-Neg », l'homme mystique et visionnaire de la  pêcheuse.

Depuis sa modeste résidence qu'il nomme « l'Hôtel Brahim », située à quelques pas de la grande mosquée, Teg-Neg mène une vie bohémienne, une vie au-delà de toutes nos préoccupations habituelles... Il vit le jour pour le jour sans se préoccuper trop du sort du lendemain. À mon avis c'est ce qui a permis à Teg-Neg de voir les choses sous un angle différent du nôtre.

Le lendemain du putsch du 7-Novembre 1987, ses mots furent : « On a changé l'âne, mais c'est toujours la même charrette ! », un allusion à ce que rien n'a changé... Mais ça reste toujours d'actualité : après la « Révolte du 14-Janvier » jusqu'à maintenant, rien n'a vraiment changé !


Teg-Neg commente le putsch du 7-11

Ce visionnaire dispose de plusieurs phrases révélatrices à son compte. On en parlera, promis !
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P.S. Teg-Neg en chair et en os !

lundi 11 avril 2011

Mes deux ans de Linux !

Célébration des vingt ans de Linux
Bon ce n'est pas un sujet sur Sayada, mais il y a un certain point de concorde assez subtil :)


Il y a deux ans, quand j'étais encore sous XP (installé par défaut sur mon vieux HP Compac  nx9030), j'avais coutume d'utiliser des applications dont je ne cherchais pas leurs légalités. Je ne suis pas fier de ce fait, mais vous comprenez que le libre était la dernière préoccupation dans mon lieu de travail et dans mon entourage direct. Des copies « crackées » étaient le pain quotidien des collègues dont j'en faisais parti.

Un jour, je manipulais un « célèbre » traitement de texte, seulement, après une mise-à-jour de mon système, un message intriguant est apparu sur mon écran m'indiquant que « la licence de cette application est contrefaite... ». Vous imaginez mon sentiment ? C'était de celui qui est pris la main dans le sac ! Après avoir essuyé les gouttes de sueur froide sur mon front, j'ai commencé sérieusement à penser à utiliser des alternatives libres!